342 PONTIFICIAE ACADEMIAE SCIENTIARVM SCRIPTA VARIA - 25 de toute limite en vertu de l’inégalité (52). Cette suite finit donc toujours par dépasser la valeur 1. Le programme ré- gulier maximal étudié ici est optimal. 2) Si le taux d’intérêt normatif est négatif (e<o), alors on peut prendre à K- suffisamment petit pour que RL K* | a et, a fortiori, que SK, = +2 T +492 =. A ] et ainsi de suite. Le programme Æ* n’est donc pas optimal. Que se passe-t-il quand le taux d’intérét normatif est né- gatif? Nous pourrions alors vérifier sans trop de peine qu’au- cun programme possible n’est optimal. Les raisons de ce fait peuvent paraitre plus claires si nous considérons le programme possible #* +8 Æ qui est apparu préférable au programme @Æ* dans la démonstration précé- dente. Ce programme permet les consommations C; pendant toutes les périodes sauf la T-ème, et permet C}+|à Kr| pen- dant celle-ci. Mais, supposons qu’au lieu de consommer 8 Kr| dans la période T, on envisage de l’utiliser dans la pro- duction et de consommer dans la période T + 1 le produit sup- plémentaire qu’il permettra d’obtenir. L’inégalité (52), jointe 5] Malinvaud - pag. 4