Full text: Study week on the econometric approach to development planning

SEMAINE D'ÉTUDE SUR LE ROLE DE L’ANALYSE ECONOMETRIOUE ETC. 
391] 
il suffit que le second membre de (21) ne puisse pas être po- 
sitif* c’est-à-dire gue. pour tout T: 
I) les coefficients des à K, et des à N, dans (21) soient nuls: 
2) et qu’il n’existe aucun programme possible donnant, a par- 
tir de T, des valeurs aux utilités U, au moins égales a celles 
que donne #. mais comportant un stock S; plus faible. 
Notons ici que.la condition (1) seule suffirait si nous avions 
fixé le stock terminal Sy. La condition (2) est propre à l’étude 
des programmes à l’horizon illimité. Négligeons la pour le mo- 
ment; et étudions ce qu’implique la nullité des coefficients des 
> K, et des & N,. 
La condition (1) s’écrit: 
! 
I+ 
t+l,e ~ - 
K 
“1 + 
r 
rT ory 
— J 
te 
22) 
P,.. ’ 
| n= - (x + e) P U, 
égalités dans lesquelles intervient le taux d’intérêt normatif € 
défini par la formule (10). 
La condition d’équilibre (7) et les deux égalités (22) peu- 
vent être considérées comme constituant un système d’équa- 
tions de récurrence sur les grandeurs C, N, et K,. Plus préci- 
sément, les trois égalités en question peuvent généralement être 
résolues pour donner N,, C,, et K,, , en fonction de C, et de K,. 
Pour chaque valeur donnée C,, et pour la valeur correspondante 
So - Cy de K,, il existe donc en général des suites de valeurs 
C, N,, K, satisfaisant les équations de récurrence. 
Nous pouvons conjecturer qu’un programme optimal est dé- 
fini par celui qui, de tous les programmes possibles satisfaisant 
les équations de récurrence, comporte la plus grande valeur de 
"s] Malinvaud - pag. 21
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.