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«Le calcul; 
«Le chant; 
«Et d’autres connaissances d’une utilité pratique sur l’histoire naturelle, les 
«sciences naturelles, la géographie, l’histoire, l’hygiène, l’économie rurale, l’a - 
«griculture, la géométrie, etc. 
«On y ajoutera le dessin, si les ressources le comportent. Cependant on 
« n’enseignera ces matières supplémentaires qu’autant que l’étude des premières 
«connaissances, plus nécessaires à ¡’instruction élémentaire, n’en souffrirait 
« pas. » 
Statistique des écoles primaires. — En i85%, il y avait, dans les i 583 com 
munes du grand-duché, 1770 écoles catholiques et protestantes, où l’instruc 
tion était donnée par ïl\78 instituteurs, dont 1 863 principaux et 610 institu 
teurs adjoints. 
Les traitements des instituteurs principaux s’élevaient à 727962 florins, soit 
en moyenne, pour chacun, 890 fl. 44 kr. (819 francs). Ceux des instituteurs 
adjoints, à io55o5 florins. 
Le nombre des enfants tenus alors d’aller à l’école était de 222 1 65, et la 
surveillance exercée était telle que tous suivaient effectivement les leçons des 
écoles. 
La loi du 3 mai 1 858 a encore amélioré la situation matérielle des institu 
teurs primaires. 
En 1 852 il existait, en outre, dans le grand-duché, 69 écoles primaires ¡Israe 
lites , avec 5o instituteurs principaux et 5 instituteurs adjoints. 
Le nombre des enfants de ce culte comprenait : 
i° Ceux qui recevaient leur instruction totale à l’école; 
Garçons 1215 
Filles 112 5 
234o enfants. 
2 0 Ceux qui fréquentaient d’autres institutions et ne participaient à l’école 
israélite que pour l’instruction religieuse : 
Garçons i38 / 
Filles 45 Í 
Total 
i83 enfants. 
2 5s3 
De plus, il y avait 98 écoles religieuses israélites avec 99 instituteurs, spé 
cialement dans des endroits où des écoles israélites publiques n’avaient point 
pu subsister.