Full text: La circulation fiduciaire et le marché monétaire en Italie pendant et après la guerre

    
  
       
    
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2 1919. 
Lorsque, il ÿ a un an, on recueillait les renseignements et les 
innées sur la situation économique et financière de 1918, pour les 
ésenter à l’Assemblée générale des actionnaires de la Banque 
j [talie, et tirer de ces renseignements et de ces données quelques 
= . . . . . . 
j onostics prudents au sujet de l’avenir, on ne s’imaginait pas que, 
{mois de mars 1920, l’horizon politique et économique aurait 
si 
, 
a 
P celui que nous apercevons. On ne pouvait pas non plus prévoir 
    
   
   
  
ie, justement ces jours-ci, le Conseil suprême des alliés aurait 
{ gé à propos de lancer au monde un manifeste pour montrer l’ur- 
ince de la restauration économique de l’Europe. Ce manifeste déclare 
5 le «non seulement les gouvernements de tous les pays, mais 
(us les individus, occupés à l’œuvre de production, dans tous les 
F:ys, doivent immédiatement se vouer au rétablissement et à l’exé- 
tion des mesures nécessaires pour remettre en état la production 
| temps de paix ; pour encourager les travailleurs de toutes classes 
{ fournir un rendement supérieur, pour améliorer les moyens ten- 
{mt à éliminer la spéculation et les éléments de désordre ». Et le 
)nseil ajoute que chaque gouvernement « devrait prendre en 
jamen les moyens capables de persuader aux sujets respectifs de 
tes catégories sociales la nécessité de supprimer toutes dépenses 
[htiles et de réduire les autres, de manière à surmonter le désé- 
Hlilibre qui, pour quelques années encore, devra nécessairement 
bsister entre la demande et l’offre des objets indispensables ». 
Le Conseil suprême estime aussi que les gouvernements doivent 
{ir sans plus de retard pour réaliser des mesures susceptibles de 
  
os 
    
{ | minuer la dette publique et la circulation du papier-monnaie; « en 
ëj àblissant l’équilibre entre les dépenses normales et les ressources 
H 
+ 
s États; en levant des impôts supplémentaires, jugés nécessaires 
lur atteindre des résultats rapides et réels ; en consolidant la dette 
  
t ttante à court terme, sous forme de souscriptions privilégiées sur 
pargne; en fixant immédiatement des limites et en réduisant pro- 
essivement la circulation fiduciaire ». 
  
II
	        
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