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chiffres les plus récents dont on dispose en ce qui concerne les coopératives pour la 
- la soie indiquent que 282 d’entre elles ont, en 1921, écoulé pour 16.542.440 yen de 
st-à-dire $ 8.271.220, au pair !. Mais il s’en faut de beaucoup que ce chiffre mesure 
ictivité coopérative japonaise dans la production et l’écoulement de la soie. Voici 
Tres un peu plus anciens mais qui concernent non seulement les ventes des coopéra- 
scialisées, mais aussi les ventes effectuées par les coopératives non spécialisées dans 
nent de la soie: en 1918, le montant total des ventes coopératives de soie brute 
à 51.464.298 yen (soit près de 25?/, millions de dollars); augmenté des ventes de 
il atteignait 86 millions de yen (soit environ 43 millions de dollars). 
talons aussi les séchoirs coopératifs de cocons qui ont pris récemment (surtout 
920) un certain développement dans le Frioul, en Italie, et qui ont pour buts prin- 
le soustraire leurs membres à la nécessité de vendre les cocons hâtivement, à l’époque 
‘olte, en mettant à leur disposition à la fois des moyens de parfaite conservation et 
:ces sur les cocons séchés ; 
‘’organiser collectivement la vente des produits. 
r activité a ainsi pour effet de régulariser le marché: elle a aussi contribué efficace- 
améliorer les qualités de la production. Les séchoirs coopératifs n’hésitent pas à 
re les cocons (déjà soigneusement choisis par les membres) à un triage très minu- 
?s éliminations, dans les années normales, atteignent la proportion de 10 à 15 pour 
lans les mauvaises années, celle de 28 à 30 pour cent. 
séchoirs coopératifs ont ramassé 921.574 kgs. de cocons en 1920, et 1.740.000 kg. 
représentant, au prix moyen de 28,50 lires par kg, une somme de 50 millions de 
organisations coopératives de cette nature existent aussi dans les provinces de 
de Venise et du Trentin. 
Laine 
difficultés qui résultent de la grande multiplicité des sortes de laines identifiables 
* la nécessité d’une organisation. Toutefois l’organisation coopérative des produc- 
laine est généralement d’un type beaucoup plus lâche, beaucoup moins élaboré que 
lupart des autres produits agricoles. 
ès l'Australie (222.260.000 kg. en 1923), où le marché de la laine a, jusqu’à une 
écente, été organisé sur les bases d’une coopération obligatoire et avec le concours 
°, et tout près de l’Argentine (122.469.300 kg.) où le mouvement coopératif est en 
yrmation, les Etats-Unis sont, parmi les plus grands pays producteur de laine dans 
. En 1923, ils ont produit 120.704.835 kg. La même année, 53 associations coopéra- 
onales et locales, dont la moitié ont été créées depuis 1920, ont mis sur le marché 
8.912.073 kg.; 3 agences coopératives centrales ont écoulé 8.482.133 kg. 
; l'Union sud-africaine, qui est le quatrième grand pays producteurs de laine, la 
Ÿ Co-operative Wool and Produce Union» a exporté de la laine vers l’Angleterre 
jour une valeur de £ 29.569, ce qui représente environ 8 pour cent de l’exportation 
> l'Union sud-africaine. Cette exportation s’est faite par l’intermédiaire de 
as Farmers’ Co-operative Federation Ltd.», agence coopérative de caractère 
mal dont il a été question plus haut ° 
ite de statistiques commodes disponibles, les termes, pour des comparaisons signi- 
«c«ui vo, Manquent. Notons, pour placer ce chiffre sur une échelle, qu’en 1916, l’écoulement 
réalisé par 362 sociétés coopératives de vente et estimé à une valeur comparable (13 millions 
de yen environ) correspondait, en quantité, à environ 620.000 kg. de soie. Cette quantité est 
presque égale au montant (624.956 kg.) de la production française totale en 1912 (soie filée de 
l’ensemble des cocons français et étrangers). 
? Principalement pour la liquidation des stocks de guerre. 
8 Voir p. 37.
	        
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