anque lingots à la frappe. Elle est un régime de cédule hypothécaire étendu,
Sénéralisé, simplifié. Comme pour cette cédule, le « comptabilisant »
doit au conto qu’il a fait créer. Mais il lui doit indirectement en ce
Sens que le conto mis en circulation, vis-à-vis des tiers porteurs est
rétaire Saranti globalement, solidairement et indivisément par tout le porte-
1 peut feuille des créances gagées que possède l’Office comptabilisateur.
suliers Cet Office procède lui-même en temps et lieu à toutes les opérations
er pe dites de « purge » ou d’apurement (1).
Le = : Selon le deuxième système de comptabilisme, l'élément crédit
els dé bo éliminé. L'autorité officielle (Commune, État, Internation) se
nou À tne à créer centralement elle-même une certaine quantité d’unités
*p0 € Paiement en contos, et ces unités qu’acquièrent les particuliers par
Conversion de la monnaie actuellement en cours servent ensuite aux
pansactions. Cette création est un acte discrétionnaire de l’autorité.
nait qu’un système de chemins de fer fonctionne, il faut d'avance des
O5, Setdes wagons; pour un système de télégraphes, il faut un réseau de
selles Ut et des appareils. Pour que le mécanisme des virements fonctionne,
Set . aut au préalable une quantité déterminée d unités et une répartition
fonds ete unités entre les particuliers intéressés. Un État tout neuf et
ainsi te tous les autres aurait dans sa constitution même à organiser
0h + lable création et répartition. Mais pour nos États qui existent
25 18 | Onctionnent, où la monnaie existe et où elle est répartie, il n’est
is # Dlus question que d’une conversion, d’un retrait dela monnaie en cours,
# 4 Accompagnée d’une introduction de la monnaie nouvelle. Or, il est
1 du taitement admissible que l’État, au moment de créer la monnaie
pos rennes ou la monnaie postale, se fasse payer en tune fois le service
pro marine qu’il va rendre indéfiniment, et cela au même titre qu il
1e 54 M faire payer des concessions de chemins de fer ou d électricité,
dise te Même titre que les banques nationales aujourd’hui font payer
ri et es Service monétaire au moment de l’escompte par les billets qui
pouf ftnte en circulation. Une fois créées, les unités ont une existence indé-
que écon puisque la société, nous l’avons dit, doit postuler que son activité
gimé Mans are est perpétuelle, partant que son organisation monétaire
és veus Jamais à être liquidée. Comme ce sont des unités scripturées,
pot entier de caractère purement juridique et immatériel contraire-
,ttre aux unités métalliques, il ne coûte rien d'entretien ni d’amortis-
La EE
èque us On remarquera que le crédit gagé, quand il est solidement organisé,
ont ctétar réalité peu de risques : Warrants et magasins généraux, monts-de-piété,
irec- indi a Ppothécaire. Ainsi le bilan du Crédit foncier de France 5x Jui 1025)
je là ac sur 2,980 francs de prêts hypothécaires, pour 708.061 francs d’immeubles
- des francs Par la Société à la suite d’expropriation, et une provision de 2,000,000 de
tive este faire face àl’excédent des créances hypothécaires sur la valeur estima-
; sélovat Tmmeubles acquis par la Société. Les obligations foncières en Ccnition
tive» Une alent à 3,457,000,000. (Voir TEMPELS, Sur la réforme du Crédit hypothécaire.
CASSe hypothécaire instituée par l’Etat.)
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