=
ns qui saurait d’ailleurs laisser puissance aussi formidable entre les mains
janges de quelques particuliers. Ceux-ci en obtiendraient un bénéfice énorme
ations. en cas de succès et ils seraient forcément indemnisés ou aidés en cas
té des d’insuccès.
x =
2 pE b) Faculté de recours à la banque.
is leur Le recours à l’Institut financier international serait facultatif,
Mais il constituerait un puissant moyen de régularisation des acti-
on de … vités politiques. Les prêts ne seraient pas consentis pour des entre-
toduit prises d’ordre militaire. La communauté des États aurait intérêt à
base, ce quelles prêts soient vraiment productifs et ainsi serait créée une col-
lenos- laboration financière agissante. Les banquiers anglais parlent déjà
ompte couramment de la « monnaie dirigée », c’est-à-dire s’employant selon
ar au des directives communes. Une Banque internationale serait la pro-
icain, priété de tous les États. Les Gouvernements en s’y adressant n’au-
être — Taient plus à implorer avec des formes de servilité souvent bien peu
dignes de la puissance publique, avec des compromissions qui manquent
très souvent de la lumière et de la publicité nécessaires. Le salut de
la Belgique et le salut de la France dépendent aujourd’hui du secours
tdes d’un Pierpont-Morgan!
UXx-ci
une c) Conventions particulières de prêt.
gent Les conventions particulières avec les États régleront dans chaque
Tga- cas les modalités des garanties. Les États comme les particuliers ont
dres à offrir des garanties générales et des garanties spéciales. Celles-ci
ctifs Ordinairement sont redoutables à donner. L'histoire contemporaine
ale) ; est pleine des complications qui en furent la suite. Mais ce qu’on
ales. Peut appréhender de la part d’un créancier quand c’est un État agis-
Vous Sant seul, on est autorisé à l’admettre quand il s’agit de la commu-
hauté même des États. Délégations sur les douanes, sur les monopoles,
Sur les régies de chemins de fer, sont les matières à gage courantes.
que aJoutons-y le portefeuille des États fortunés, les titres représentatifs
be € leurs participations diverses.
tio- d) Obligations ou rentes internationales.
UM La Banque émettrait des obligations ou rentes internationales
us, Saranties par le portefeuille de tous les engagements des divers États
fe avec les garanties réelles qu’ils auraient éventuellement fournies.
Xe Ces obligations pourraient servir aussi à la mobilisation du plan
pi Dawes,
tes L’'épargne a droit à un placement sûr. L’instabilité économique
lie Monétaire actuelle s’y opposant, il y a intérêt à créer pour l’épargne
ne Une valeur de premier ordre. Les obligations internationales fondées
ne Sur la garantie de tous les États offriraient da sécurité maximum.
A Cette garantie n’a pas besoin d’être solidaire. L'assurance serait
Produite par la seule division des risques.
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