— Uy —
Les renseignements recueillis par le Bureau international du Travail, et, anté- psaes
rieurement, par le ministère du Travail britannique, ne portent, d’autre part, 8.00
que sur les industries et professions ci-après: I. Bâtiment: a) ouvriers qualifiés : 0
maçons, charpentiers, menuisiers, plombiers, peintres (en général); b) ouvriers non cu
qualifiés: manœuvres. II. Constructions mécaniques : à) ouvriers qualifiés : ajusteurs, one
mouleurs (à la main), modeleurs, tourneurs; b) ouvriers non qualifiés: manœuvres. aa
III. Ameublement: a) ouvriers qualifiés: ébénistes; b) ouvriers non qualifiés : Pos:
manœuvres. IV. Imprimerie et reliure: a) ouvriers qualifiés: compositeurs ! 1° à la A
main, 2° à la machine, conducteurs, relieurs; b) ouvriers non qualifiés: manœuvres. RE
Mais il n’a pas été possible de prendre en considération, dans la présente ve
étude, en raison de l'importance des travaux de caleul à effectuer, l’ensemble =.
de ces catégories professionnelles. On a retenu, en raison de leur caractère repré- pas
sentatif, les suivantes: Bâtiment, maçons et manœuvres; Constructions mécani- Soot
ques, ajusteurs et manœuvres; Ameublement, ébénistes et manœuvres; Imprimerie Ba
et reliure, compositeurs à la main, compositeurs à la machine, manœuvres. = 0°
Les informations demandées ne concernent pas la moyenne des gains effectifs 40H
des ouvriers dans les professions considérées, ni les éléments à l’aide desquels on i
pourrait établir cette moyenne. Celle-ci impliquerait l’utilisation première, à l’ori- 5.004
gine de la documentation, des bordereaux de salaires des industriels, la prise en us
considération des différents modes de rémunération, salaire au temps et salaire cu es
d’après le rendement (pièces, tâche, etc.), des primes et allocations de toute nature ot
pouvant intervenir dans la rémunération, des pertes de salaire provenant du eg
chômage, total ou partiel (short-time), etc. On a dû, pour des motifs d’ordre oil
pratique, renoncer à étendre la documentation à cet ensemble d’éléments, que la so—
plupart des administrations nationales n’auraient pas pu fournir, et s’en tenir se
à la prise en considération du taux de salaire au temps pour une seule catégorie — 40 pra
les ouvriers adultes — d’après les contrats collectifs, ces taux de salaires étant 20}
d’ailleurs entendus y compris l’allocation de vie chère et d’autres primes semblables. 5.00
Il est d’autant plus important de ne pas perdre de vue la nature ainsi définie so |OTT4
des données prises en considération dans les calculs et comparaisons qui suivent so
qu’il peut y avoir d’importantes différences entre la rémunération au temps et la aol
rémunération d’après le rendement, et que nous ne sommes généralement pas ren- es à
seignés sur le rapport existant entre elles dans les différentes villes. Il faut ajouter — 2.00 | StD1
nouvel élément de complication — que pour quelques villes les données commu- a
niquées comprennent non pas les taux minima fixés par les contrats, mais des taux =.
effectivement payés qui leur sont quelque peu supérieurs, et que d’autre part les 60}
chiffres de Copenhague sont basés, non sur les taux de salaire au temps, mais sur 2 =
les gains effectifs des travailleurs aux pièces aussi bien que des travailleurs au temps, 201k0RE
et que ceux de Tallinn sont également basés sur les gains moyens. 200 5
Cette dernière indication porte une atteinte particulière à la comparabilité des = a
chiffres relatifs à ces deux villes avec ceux qui concernent les autres. Aussi dans nos . E.
ao | BRU)
Livre et travaux de ville. 204
0.004
Dans le graphique I et le graphique II ci-contre :
* signifie: gains effectifs.
&x D taux minima.
Ton CS
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204
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