oes deux trafics se sont d’abord relevés au lendemain de la guerre,
pour prendre, depuis quelques années surtout, un essor remarquable :
Annees.
~~
1920 oo ave .-- a
1921 on wor oie
1922 wre ver . ven
1923 wae ore “se ae
1924 cre cee ore vee
1925 See ve xk a
Arachides.
Tonnes.
427.000
149,000
259,000
362,000
451,000
483,000
691.000
Feves de Soya.
Tonnes.
298,000
124,000
157,000
281,000
409,000
555,000
651,000
Les huiles minérales occupent toujours la premitre place dans les
marchandises sud-nord; le pétrole brut, qui a atteint 1,237,000
tonnes, n'a que trés peu progressé d'une année A l'autre (+ 22,000
tonnes) ; mais le mazout est en accroissement de 168,000 tonnes et la
benzine de 100,000 tonnes. Quant & l'augmentation globale du
aroupe des huiles, elle est imputable en presque totalité aux envois
d’Abadan :
PrROVENANCES des Huiles minérales.
Perse we TE avs
Tles de la Sonde... ok
Suez a a, ss
Birmanie ... ve
Ensemble ... av
1924
Tonnes.
1,933,000
232,000
94,000
63,000
2,322,000
155
EYES
106)
Tonnes.
2,244,000
254,000
127,000
36.000
2,661,000
Différence
en 1925.
Tonnes.
+ 311,000
+ 22,000
+ 33,000
= 27.000
+ 339,000
Dans lo commerce du sucre, il est a remarquer que la part des
Philippines (217,000 tonnes) a été presque aussi importante, I'annde
dernidre, que celle des Indes néerlandaises, particulierement faible
(234,000 tonnes). Signalons aussi que les envois de sucre d’ Australie
qui ont fait leur apparition au Canal en 1924 (année ou ils wétaient
chiffrés par 37,000 tonnes), sont passés en 1925 4 91,000 tonnes.
Te caoutchoue, avec 497,000 tonnes, et la viande frigorifiée, avec
129,000 tonnes, ont réalisé leurs maxima.
Les légumineuses inscrivent une grosse diminution de 219,000
tonnes : le grain indien, trés variable, perd 71,000 tonnes, les haricots
de Birmanio et de Chine 91,000 tonnes.
Le trafic des phosphates bruts, jadis trés florissant au Canal, nous