Full text: Oeuvres complètes

DE DAVID DICADDO. xi 
demontre I amere mystifutation qui git au fond du système des restrictions: 
on n avait pas encore fait le décompte des charges qu’il impose, on n’avait 
pas ouvert eneoie les yeux sur les jongleries de l’amortissement ; — voile 
tionipeur jeté sur 1 abîme des déficits et dont on pourrait comparer l’action 
a ce e d un homme qui pour reprendre des forces enlèverait à ses veines 
sang qu il verserait dans les artères ; — on comptait encore sur la do 
cilité des autres nations, car l’Amérique n’avait pas rédigé son petit acte 
de navigation, habile plagiat de celui de Cromwell ; on n’avait pas calcule, 
dans I ivresse patriotique où l’on se trouvait plongé, que les dépenses du 
pay^ r elèveraient de 20 miUiom à 106 million, sterling, tanelis que les 
exportations au profit desquelles on était censé travailler, grandiraieni seu- 
lement dans la proportion de 39,730,659 liv. st. en I801, à 31,710 934 
en 1812, et i5,494,2l9 en 1814; enfin Iluskisson n'avait pas encore 
rompu lecharme en disant en pleine chambre des Communes ; Kotre Irrevet 
a invention est eoepiré ’. 
■ 
(le Perfectionnfmpni P'ii'sanl, la Ligue et Hubert Peel ont substitué un brevet 
que nous ne paraissons guère disposés à disputer aux Anglais.
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.