4)
EXPORTATION
\NNÉES
1900.12.
1905...
1910112 2
1915.11...
1820.11 LL
19280111
OUANTITES
18.000 Ke
25.400 »
33.900 »
12,450
14.893
60.907
146.663
VALEURS
298.250 Francs
128.000
343.000
299.794
+.169.000
12.476.000
23.198.000
Dans ces derniers chiffres (année 1928) l'essence de géranium
-utre pour 143.000 kilos et celle de néroli pour 663 kilos.
LA CULTURE ET L’INDUSTRIE DES TABACS
La Culture.
Avant la conquête les indigènes cultivaient deux espèces de ta-
bacs : le tabac rustique (Nicotiana-Rustica) et le tabac ordinaire
Nicotiana-tabacum). Avec le premier ils obtenaient le tabac à
briser « Uhemma », avec le second le tabac à fumer « Doukhan ».
Dans celle production quelques tabacs avaient conquis un grand
renoni, nolamment les « Krachenas » el « OQuled-Chichel » dans la
Mitidja, de ceux-ci proviennent le nom et la réputation du tabac
« Chebli ».
Les produits de l'casis du Souf, dans le Sahara algérien, étaient
‘ort estimés des indigènes bien que leur force nécessitait un mé-
ange avec d’autres plantes appelées « Akil » et « Tronna ».
C’est à partir de 1845 que la culture des tabacs produisit des
qualités qui démontrèrent suffisamment que le sol africain devait
donner beaucoup mieux que la majeure partie des provenances
l’où la Métropole tirait les achats nécessaires à sa consommation.
Les colons cultivaient plus particulièrement les espèces et variélés
que l'Administration avait reconnu s'adapter le mieux au climat de
l’Algérie. C’étaient des tabacs du Pas-de-Calais, du Levant, entre
autres ceux de la Macédoine, de l’espèce « Dréma »
1) Dernières statistiques.